Maire-adjoint de Cérilly, Conseiller général
Après des études primaires et secondaires à Montluçon, Gérard Dériot, natif de Louroux-Hodement, poursuit ses études de pharmacie à la Faculté de Paris et accomplit son service militaire au Centre de Recherches des Armées à Clamart. Tout naturellement, il s’installe à Cérilly, à deux pas de sa maison familiale, et crée à côté de sa pharmacie, un laboratoire d’analyses médicales.
Elu maire-adjoint de Cérilly dès sa première élection en 1977, toujours réélu, il a été maire de 1995 et 2001, date à laquelle les règles sur le cumul de mandats l’ont contraint à demeurer maire-adjoint. Conseiller Général du canton de Cérilly depuis 1985, réélu en 1992, 1998 et 2004, il succède à Jean Cluzel à la Présidence du Conseil général de 1992 à 1998, puis de 2001 à 2008. Président du Syndicat Mixte du Pays de Tronçais, il est également depuis les dernières élections, Président de la communauté de communes du Pays de Tronçais.
Elu au Sénat en 1998, aux côtés de son collègue et ami Bernard Barraux, il a rejoint la Commission des Affaires sociales dont il est devenu vice-président en 2004. Chaque année, il est l’un des quatre rapporteurs du projet de loi de financement de la Sécurité sociale, pour la branche Accident du travail – Maladies professionnelles. De la commission d’enquête sur les farines animales qu’il a présidée à sa dénonciation du scandale de l’amiante, de la prévention de l’obésité au texte sur la fin de vie, Gérard Dériot s’est investi pleinement dans ses fonctions de législateur. Ses combats en faveur de l’aménagement du territoire et sa défense, aux côtés des élus locaux, des dossiers de l'Allier jusqu’au plus haut niveau de l’Etat, font partie de ses priorités.
Comme Président du Conseil général et comme Sénateur, il a parcouru l’ensemble du département, partageant avec les élus le poids des difficultés quotidiennes, en même temps que la volonté et l’espoir de les résoudre. Il a toujours eu le désir et la pratique du dialogue en même temps que la préoccupation de préserver l’unité des territoires Bourbonnais et d’œuvrer à leur développement.